Re:la magie de montagne PUB a frappé - 16-02-2015 à 02:07
Quelle plume quel talent que dis-je quelle péninsule, moi monsieur si j’avais un tel talent il faudrait sur le champs que je l’utilisasse. Je tenais quand m^me à ajouter qu’à deux on est plus talentueux. Plan 1 séquence 1 : TGV retour Florent/Florence cote à cote se chuchotant on va se faire le débrief we maintenant FS : gréffière notez FG : nous partimes à 100 dans un brouillard dense et épais FS : c’est qui le presse dent, je n’ai pas dit ça FG : ok ok je note
Bref voilà comment en 2 minutes on fait un compte rendu délicieusement parfait, elle en a de la chance cette première dame d’avoir un homme si talentueux, il en a de la chance le presse dent d’avoir une femme si vertueuse. Ne changez rien on vous aime comme ça
Nous avons décrit les paysages somptueux, les arbres enrobés d’une meringue blanche mais nous n’avons pas parlé des loups sauvages.
21h00, nous avançions dans une tempête glaciale et ne pensions jamais trouver d’abri pour la nuit, seuls les loups nous surveillaient. Nous ne les voyons pas mais nous les sentions prêts à se jeter sur le dernier du convoi. Accrochés à nos pulkas nous jetions des regards furtifs de chaque côté de la foret. Et puis un cri déchirant retentit, c'était Flob qui s’était fait chopé ! Les dents luisantes éclairées par les rayons de lune de ces froides nuits polaires, les cris stridents de ces animaux enragés notre sang ne fit qu’un tour, il fallait intervenir et vite si nous ne voulions pas que ces fauves déchiquettent la tenue Vintage ESF 1980 de Florent. Après une lutte acharnée Flob réussit à les faire fuir. Flob les mains en sang poussant un cri de victoire qui s’entendit jusqu’aux contreforts de Jumeauville avait vaincu à lui seul les centaines de loups sauvage.
Ce n’est que vers une heure avancée de la nuit que nous trouvâmes notre refuge, que dis-je notre cabane. De ma vie je n’avais connu de tel luxe. Une table en bois, 2 bancs, un mini poelle et C’EST TOUT. Les doigts gelés les cheveux givrés blanchit par la peur il fallait maintenant organiser notre nuit.
Fabien mon homme, mon roc, ma péninsule d’une main sciait les branches, de l'autre déchargeait les pulkas, de son pied droit préparait le diner et de ….. réchauffait mon corps endolori. Florent qui touché par le mal des altitudes criait qui c’est qui n’en veut du ginàmoam. 10 minutes plus tard nos esprits et nos corps se réchauffèrent et nous commençâmes à danser. Catherine élevée dans des camps de naturistes par ses parents soixante-huitards se mit à danser nue dans la nuit étoilée. C’est au petit matin que nous trouvâmes le sommeil après avoir assisté à un concours de bucheronnage orchestré par marc augustin et Daniel du lac du petitchalet d’en haut sur la montagne. Quelle première nuit, la suite les photos seront la pour en témoigner. Du beau du grand de l’unique, du sauvage. MERCI MONTAGNEPUB
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